Eiko Serizawa - Code

Eiko Serizawa

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• Sexe: ♀ • Âge & Date de naissance : 17 ans, 1er Mars 1996 • Origine(s) : Japonaise • Orientation sexuelle : Hétéro

• Langue(s) : Japonais, un peu d'anglais. • Année scolaire : 4ème année. • Groupe : Populaire. • Club(s) : [ facultatif ]

>>> Aspect physique

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• Physionomie : [ 350 mots minimum ]

Eiko Serizawa est un modèle de perfection. Non, sans rire, une question se pose des que des yeux la croisent. Comment peut on être aussi banale et aussi mignonne à la fois ? Ce n'est qu'une petite japonaise. Certes mais il est dérangeant de voir comme certains petit détail font qu'elle est Eiko Serizawa et non une autre. Elle mesure 1.57 mètre petite certes, mais ce qui est petit est mignon ,non ? Elle ne se serait de toute façon pas vu avec 1.74mètre. Elle n’est ni maigre, ni mince, mais quelque part entre les deux, à telle point que ceux qui l’apprécie dise mince et que les jalouses disent maigre. Elle ne se distingue pas de la masse par la couleur de ses yeux noisettes, mais par leur capacité à exprimer toute une batterie de sentiments comme si ils étaient toujours sincère. S'il n'avait s'agit que de ses yeux mais il y a aussi de son petit nez discret, de ses lèvre diaphane, qu'elle maquille de rouge à lèvre rouge léger. Toute ses merveilles sont encadré par la longue chevelure d'ébène caractéristique des pays asiatiques. Ce qui fatalement fait ressortir son visage ovale. Un peu de fond teint nude pour cacher les quelque malheureuse imperfection et voilà enfin la tête d'une parfaite petite poupée japonaise.
On descend alors le long d'un cou gracile, on aperçoit deux os de clavicule parfaitement dessiné. On se surprend à vouloir plonger plus bas. Ce qui n'est pas désagréable sans pour autant être affriolant. Un simple bonnet B, juste ce qu'il faut. Ce qui suit, une taille fine, un ventre parfaitement plat révélateur d'un certains nombre d'heures de footing. On remonte alors vers les épaule fluette, pas carrée comme les sportifs, mais presque fragiles. On descend le long des bras, pour arrive à des mains fines manucurée parfaitement, une french doté de petite décoration kawaï, comme des pastèques, des chauve-souris ou autre choses de ce genre. Selon le goût ou l'humeur de la demoiselle. Si vous avez la chance de la voir en tongues et bien vous verres que la pédicure est de mise et en générale en accord avec la manucure ce qui tient d'un véritable exploit car Ei est vraiment d'humeur changeante.

• Vêtements : [ 150 mots minimum ]

Comment vêtir notre poupée ? Si n'est avec trois principe de base : La mode, la mode et encore la mode. Si ce n'est le moment ou forcer de porter un uniforme, elle se démarque par toute sorte de petit accessoire, comme des barrettes, bracelets, bijoux pour téléphone car oui le téléphone est un accessoire. Toujours un petit quelque chose de personnaliser de différent sans pour autant être choquant.
Si il s'agit d'un jour de détente, alors là tout ce complique. Il ne s'agit pas de sortir un jean au pif, de lui doter d'un haut, et de deux trois accessoire. Non, il y a des règles. Comme elle est plutôt pâle elle peut se permettre des couleur flashy. Jamais plus de trois couleur sinon on choque l’œil, pas plus d'un vêtement à couleur flashy. Pas de collier avec des boucles d'oreille pendante sinon c'est moche. Ne pas oublier d’emmener des tongues quand on sort en escarpins. Et surtout ne pas se rhabiller deux fois de la manière pendant le même mois. Évidement sa garde de robe est assez impressionnante, on évitera donc de la détailler entièrement ici.

>>> Aspect psychologique

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• Psychologie : [ 350 mots minimum ]

"J'ai toujours penser que le bonheur c'était fait pour les autres, alors je ne vois pas le mal qu'il y a à bâtir le mien sur le malheur des autres" ( J'ai craqué sur cette phrase mais je sait plus où, alors si quelqu'un vient me réclamer le droit d'auteur ben euh...)Eiko, la fille de la prospérité est le bonheur incarné. C'est avant tout un grand sourire, un savoir innée des convenance, une fille que l'on trouve TOUJOURS mignonne attirante parfaite. Et elle le sait... Au grand damne de toute créature vivante existant dans son entourage. Ei aime Ei. On pourrait en finir là pour sa description psychologique.Développons un peu. Détruire est son plus grand passe-temps. Non, je ne vous parle pas de tabasser un type un peu gauche au fond d'une ruelle. Elle a essayer elle aime pas... Non, elle préfére, briser des couples, dévoiler des secrets gênant et autre sournoiserie du cru. Mais bien sûr vous ne pourrait jamais prouver que c'est elle. Non vous aurait toujours le sentiment qu'elle est la seule amie qui vous comprend. Et jamais vous ne vous demandez pourquoi c'est la seule amie qui vous reste. Au delà même vous vous sentez être un monstre quand vous êtes jaloux de voir qu'elle fréquente d'autres personnes. Eh bien, c'est déjà trop tard pour vous...
Cependant il lui arrive parfois d'être clémente, de laisser son entourage se gorgée de sa popularitée. Elle se sait apprécier, aimée et cela agis sur elle comme une sorte de drogue. AU finale elle a besoin des autre pour exister. La reine ne peut être que si elle a une cour pour la suivre. Et elle sait comment garder le contrôle de son monde futile.
Si ce n'est son masque de personne parfaite, sa couche de perfidie, il reste toujours au fond du compte une gamine fragile, a fleur de peau que les remarque peuve blesser. Ayant déjà souffert par le passé d'avoir était la tête de turc de la classe, elle s'est dotée d'une armure de méchanceté doubler d'un masuqe d'hypocrisie. Elle a un fort besoin de contrôle sur son entourage et n'hésitera en aucun cas à evincer quiconque voudrait faire de l'ombre à sa majesté. Elle doit avoir la première place, point.
En résumé, Eiko est une fille charmante, agréable et belle...

• Particularités : [150 mots minimum ]

Elle n'a rien de bien particulier sinon une petite chose,rien de grave. Elle a se besoin de tout contrôler qui a évolué en une fixation maniaque aigus. "une place a chaque chose et chaque chose a sa place." ce dicton populaire et comme une seconde nature chez Ei-chan. Si bien que si vous aviez par malheur déplacer quelque chose chez elle, Eiko le saurait immédiatement. Dans le même ordre d’idée, elle mène une croisade permanente contre la saleté. Elle a même virer sa femme de ménage car cette dernière ne faisait pas assez bien son travaille a son goût. Elle connaît tout les truc de grand mère possible et imaginable pour cette guerre. Cela va du nettoyage de réfrigérateur au citron vers au décrassage de joint au soda. Bref une vrai fée du logis. Ajouter a ça une hygiène corporel indiscutable. En effet elle peut prendre jusqu’à cinq douche par jour. Ne parlons pas du reste. Elle est maniaque. Elle le sait. Elle sait le cacher pour ne pas passer pour une folle.

>>> Biographie

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• Histoire : [ 700 mots minimum ]

Naître dans la famille Serizawa implique de connaître sept règle d'or. Règle numéro une : « tend à la perfection. » Pour cela vous êtes censé suivre le destin que le chef de la famille à choisit pour vous sans jamais vous rebeller. Alors Eiko est née, fruit légitime d'un mariage arrangé entre son père un Sérizawa et sa mère, juste sa mère quoi... Elle, la cadette doit montrer au monde le talent ignée de la famille pour la réussite contrairement à son rebelle de frère... Mais pourquoi ne pas commencer par le début.
Le début c'est quelque part vers ses six ans, parce que franchement ce qui est antérieur à ce moment n'a aucun intérêt. Petite grosse maladroite doter d'une éducation rigide en tenu traditionnel, elle n'avait rien pour plaire. Ses « amies » de l'époque avaient fais d'elle leur souffre douleur et plus un jour ne passé sans que cette étrange pluie ne s'échappe de ses yeux. Puis au moment où elle allait finir par s’enfermait totalement quelque part au fond d'elle même, un héros est arrivé. Genjy était déjà l'un des êtres les plus belliqueux qu'elle connaisse mais jamais il n'avait pris la défende de sa petite sœur. Ce jour là, dans l'air de jeu, il avait littéralement fracassé le nez d'un garçon faisant deux fois sa taille parce qu’il taquinée Ei. Ce jour là, il est devenus son héros et n'a jamais cesser de l'être. Ce qui donne la règle numéro deux : « Compte sur ta famille » bien sûr pour ça il faut savoir qui est sa famille.
Ce n'est pourtant que quelque années plus tard qu'elle appris à se défendre elle même. Bien sûr les Sérizawa prenait des cours de self défense avec un maître qui leur enseigner en cours particulier, mais c'est un autre art qu'elle avait appris seule à maîtrisé, l'art de la manipulation. Elle était accessoirement devenus bien plus belle et plus fine. Les début du collège avait fait d'elle une joueuse experte en ce qu'il s'agissait de manipuler les gens, mais bientôt elle apprenait la règle numéro trois: « Il y a toujours plus fort que toi ». C'est ainsi qu'elle rencontra Élisabeth, petite anglaise transférée sans se douter que tout les moments vécus alors n'aurait rien avoir avec ce qu'elle allait vivre à présent. En quelque jour à peine elle perdit ses amies, sa popularité baissa et la plupart de ses manipulations était éventrée par sa rivale. Elle avait perdu sur toute la ligne, alors elle dut se servir de la règle numéro deux. Elle ramena un 100 à ses examens de mi trimestre et quand son père lui demanda ce qu'elle désirait. Elle fit muter le père de l'anglaise de l'autre coter du japon. Après tout cette personne bien que cadre supérieur ne faisait que travailler pour la multinationale des Serizawa. Ce qui mène à la règle numéro quatre: « les Serizawa ne perdent jamais » et ce quelque soit les moyens utilisé pour gagner.
Règle numéro cinq: «  Soit prévoyante » Cette histoire ne devait plus se reproduire, elle avait prit conscience plus que jamais qu'elle était trop fragile, qu'elle ne pouvait pas vivre seule. Elle ne se sentait bien que quand les autre était auprès d'elle qu'ils l'aimaient, qu'ils la chérissaient. Elle devait donc trouver une solution. C'est comme ça que naquit le réseau. Se tenir au courant de tout ce qui se passe autour d'elle pour pouvoir en avoir un contrôle totale. C’est ainsi qu'elle voyait les choses. Maîtriser la rumeur, dominé l'envie de la masse tout cela était possible. Il suffisait de connaître les bonnes personnes. Exemple la mode, change tout le temps, peu de gens sont capable de l'anticiper. Ei n'a pas ce dons cependant elle a une très bonne amie qui sait le faire, des qu'elle trouve quelque chose de jolie, de classe, de mode elle envoi un mail à EI comme ça, parce que toute les deux elle en ont parler des heures. Sans s'en rendre compte cette fille fais partie du réseaux et Ei et toujours à la pointe de la mode. Appliquer se principe à tout et vous verrez à peu prés à quoi ressemble le projet mégalomane qui en ressort. Inutile d'aller écouter au porte quand on a des gens qui le font pour vous. Ei a sut des lors mener son réseau si bien que même ceux qui en font partie ignore que cette chose existe. C'est ainsi que la jolie fille assise au second rang, si calme si gentille sait absolument tout ce qui se passe dans son bahut sans même se levait de sa chaise. Elle ne cessa depuis se jour d'élargir son réseau ce qui lui permit d'aborder les années suivante avec plus de sérénité.
Règle numéro six: «  Sois discrètes ». Qu'il y a t'il de plus discret que ampoule allumée dans une pièce en pleine journée? Ei allait plutôt bien quand elle aborda le lycée, petit bahut pour bourge où son frère était depuis un ans déjà. Plus que jamais le sujet de préoccupation des filles de son age était les garçons. Plus que jamais, son apparence devait être parfaite. Elle avait atteint selon elle une sorte de perfection, il ne rester plus qu'a trouver LE garçons. Son réseau lui permit assez vite de déterminer un classement des trois meilleur prétendant. Bien sûr ce ne fut pas une mince affaire de briser deux couples et de faire pencher l’homosexualité du dernier vers la bisexualité, mais bon il suffit d'engager les bon pions au bon moment et les trois garçons se retrouvèrent célibataire et dispos sans que Ei se soit sali les mains. Ce qu'elle n'avait pas prévus c’était de tomber amoureuse du seul garçon avec qui s'était impossible. Si cela avait été le dernier Nerd du bahut elle aurait encore put faire quelque chose mais...Kotaru.
Un jeu maladroit s'engagea. Seule face a se sentiment où son réseau ne lui servait à rien, Eiko ne savait plus que faire. Elle ne chercha pas à le séduire mais ce mit a passer plus de temps prés de lui. Tout lui plaisait dans cette être. Voyou terrible et chef de meute en dehors, frère et protecteur à l’intérieur. Elle passait des heures à discuter avec lui et lui faisait semblant d'écouter. Puis un jour c'est arrivé. Son premier baisé, sans prévenir, sans raison. Elle s'en souviendra toujours. Mais quelque chose s'était mal passé. Le lendemain son père lui annoncé qu'elle serait transférer à Keimoo. Elle allait avoir un appartement luxueux ,grand standing. Mais à l'autre bout du japon...
Cela fais déjà trois ans, mais aujourd'hui un nouvelle espoir résonnait. Genjy entrerait l'année prochaine à l'université de Keimoo. Il avait réussit elle ne savait comment à convaincre son père. Pourtant elle le savait « Les Serizawa ne perdent jamais » Genjy plus que les autres. Aujourd'hui elle avait rebattit son réseau à partir de rien, sa côte de popularité était haute, et Kota serait bientôt là. Pourtant le jeu ne faisait que commencer. Ce qui mène à la septième et dernière règle: « Sois patiente ».

• Famille : [ 100 mots minimum ]

Le clan de Sérizawa est assez nombreux. Les plus important sont:
Kotaru Serizawa actuellement le chef du clan et PDG des entreprise Serizawa Inc. Et sa femme Suzuka dit la marieuse qui arrange les unions pour le clan. Peut être la personne que Ei déteste et craint le plus dans sa famille. Ces personnes sont aussi ses grand parents paternel.
Aiji Serizawa est son père, le quatrième fils de Kotaru, et gérant d'une entreprise de téléphonie appartenant à la famille. Il est l'époux de Aoki sa mère donc. Elle n' pas vraiment de liens avec ses parents. Comme pour eux elle est une gentille fille pas ennuyeuse alors il ne se préoccupe pas trop d'elle. Il sont trop loin dans l'ordre de la succession pour héritait des haut siège de l'entreprise alors evidement il jouissent d'une plus grand flexibilité mais ils reste cependant très sévère.
Genjy sérizawa est son frère pas la peine de s’appesantir plus sur lui.
Elle a aussi un certain nombre de cousins et cousines qui ne portent pas forcement le même nom qu'elle. Qui sait, elle en retrouvera peut-être quelque uns ?

Derrière l'écran

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