Quinn Blackwood 3.0

I. IDENTITÉ

• NOM : Blackwood
• PRÉNOM : Tarquin "Quinn"
• GENRE : ♂
• ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 26 ans, né le 23 Mars 1991 à la Nouvelle Orléans
• GROUPE : Creepies ♥

• PROFESSION : Abonné aux petits boulots ; actuellement : Fast-food le jour et combini la nuit.
• CLUBS (2 obligatoires pour les étudiants) : ø
• ÉTAT CIVIL (pour les citoyens et collaborateurs) : Célibataire
• LANGUE MATERNELLE : Anglais (États-Unis)
• AUTRES LANGUES : (précisez le niveau) Japonais (couramment mais avec un accent)


• PERSONNAGE DE VOTRE AVATAR : Pas de perso en particulier ; l'avatar actuel est de Re°

II. DESCRIPTIONS.

• Anatomie, marques, expressions, allure, gestuelle : (soyez le plus précis possible! )

Étalé de tout son long au milieu d’un amas de draps froissés, Quinn s’agite dans son sommeil, sourcils froncés et moue renfrognée ; une expression que l’on n’a guère souvent l’occasion de contempler sur ce visage d’ordinaire souriant, et qui, pour l’heure, semble trahir quelque mauvais rêve habitant le sommeil du jeune homme. La couverture a depuis longtemps été passée par dessus bord et le seul vêtement qu’il porte à cet instant - un caleçon - ne laisse pas grand chose à l’imagination quant à son anatomie.
Élancé, longiligne, Quinn mesure 1m80 et ne connaît pas son poids.
Il est mince. Maigre. Osseux.
Les lumières de la ville, filtrées par les volets mal fermés, découpent comme au scalpel la moindre arête de son corps, depuis ses clavicules jusqu’à ses hanches saillantes. Même ses pommettes et la ligne de sa mâchoire captent cette lumière rasante, de sorte qu’on le croirait peint par un artiste adepte du clair-obscur.
Il est à l’évidence en sous-poids, en attestent sa cage thoracique dont on peut - s’il prend une profonde inspiration - distinguer le moindre relief, et ses membres filiformes qui pourraient à première vue se briser sous un coup de vent.
Cependant, tandis que le jour approche et que Quinn passe doucement de sommeil à éveil, on ressent dans ses mouvements, sa manière de s’étirer et le léger sourire qu’il affiche - alors que sa conscience évacue les dernières bribes de cauchemar - une force, quelque chose qui semble vouloir démentir cette apparente fragilité.
Alors qu’il est parcouru d’un frémissement, sur son épaule droite se détache une marque tant brillante qu’elle en semble vernie ; cicatrice témoin, comme celles de la ville, du séisme l’ayant ébranlée quelques années plus tôt. Esquissant vaguement la forme d’une étoile, elle s’affiche de part et d’autre de l’épaule, si bien centrée que l’on pourrait s’aventurer à la croire intentionnelle. C’est pourtant loin d’être le cas et un oeil attentif notera que le jeune homme évite - peut-être même inconsciemment - de reposer sur ce côté.
Derrière les volets, les éclairages nocturnes se sont éteints pour laisser place à  un soleil encore maladif, et peu à peu, étape par étape, Quinn reprend les couleurs qui sont siennes.
Ses cheveux sont clairs, et s’ils apparaissent gris sous cet éclairage encore blafard, ils pourraient être de n’importe quelle couleur. Après tout, Quinn n’est-il pas connu pour être particulièrement indécis sur le plan capillaire ? Un examen attentif de ses racines dévoilerait une couleur chaleureuse, un châtain franc aux reflets cuivrés ; mais qui s’en souvient ?
En attendant, un rai de lumière du jour a finalement fait son chemin jusqu’au lit et Quinn a cessé d’être une photo en noir et blanc. Extrêmement pâle, le contraste n’en est que plus marqué là où sa peau se colore : rose pâle pour les lèvres et les pommettes, bleuté sous les yeux, et une poignée de taches de rousseur sur le visage et les épaules.
Quand à ses cheveux, ils sont bel et bien gris, un gris clair, peut-être encore teinté d’un peu de rose. Bien qu’il soit impossible de savoir si ce sera toujours le cas la semaine prochaine.
Maintenant pleinement réveillé, il se redresse doucement, gardant les yeux fermés jusqu’au dernier moment, comme pour savourer plus longtemps ce moment qui n’appartient qu’à soi. Immenses, ses cils projettent leurs ombres démesurées sur ses joues et puis, finalement, sur un papillonement, se soulèvent, dévoilant deux orbes couleur de ciel sans nuage - un bleu presque électrique. Si ces yeux sont bien souvent ce qu’on remarque en premier dans son visage, il n’y a actuellement personne pour les voir, tandis qu’ils volent d’un point à un autre, reprenant leurs marques dans la pièce, avant de se poser juste à sa droite.

«Bonjour, Mylady» lance-t-il au cadre posé sur la table de chevet.
Il y a une pointe de tristesse dans cette voix chaude teintée de rêverie.

Après un soupir et une pause, le voilà qui rassemble son courage et se lève, presque d’un bond.
Bien campé sur ses pieds, sa posture dénote - si ce n’est de la confiance en soi - au moins de l’assurance. Attrapant la couverture d’un geste leste, il la remet en place dans un claquement bien maîtrisé.
Se dirigeant vers la porte, il passe sa main dans ses cheveux, tignasse ondulée dont la coupe semble devoir plus au hasard qu’aux ciseaux d’un professionnel, et finit son mouvement en s’étirant de tout son long.
Sa démarche est légère ; aérienne. Il semble flotter, danser, presque ; créature tout droit sortie d’un conte.
Là, au milieu de la pièce, presque nu et découpé en tranches par la lumière perçant les volets, il est presque beau. D’une beauté relative. Subjective. A côté de gens banals, il semblera beau. A côté de gens beaux, il semblera banal.
Ses mouvements y sont sûrement pour beaucoup, fluides, félins, nonchalants. Comme si, ayant conscience de chaque parcelle de son corps, il en contrôlait le moindre frémissement.
Il y a aussi quelque chose de féminin dans sa façon de se mouvoir, accentué peut-être par sa corpulence mince et ses traits délicats, et bien qu’ayant conscience de cette ambiguïté, Quinn ne prête pas attention aux remarques que cela attire parfois. Il se considère certes comme un homme, mais n'estime pas devoir répondre à des critères précis pour être reconnu comme tel.
Et puis, il suffit de voir sa garde-robe pour comprendre qu’il n’a besoin de l’approbation de personne.

• Tenue vestimentaire, accessoires, tatouages,  etc.

Cela dit, approbation et attention sont deux choses différentes, et si Quinn se passe bien de la première, il apprécie clairement la seconde ; et cela se ressent sur son style vestimentaire, généralement qualifié d’excentrique… Ce qui lui convient parfaitement.
La chose primordiale à savoir au sujet de ses vêtements est qu’il les a tous créés de lui-même (ou au minimum customisés). La couture est et restera son occupation principale, et il maîtrise maintenant suffisamment cette discipline pour réaliser à peu près tout ce qui lui fait envie.
De fait, chacune des pièces que l’on peut trouver dans son dressing est le parfait reflet de ses goûts : du rétro - des coupes sorties d’une autre époque -, des couleurs, comme le rouge qu’il affectionne particulièrement, des rayures, des associations improbables de matières et de motifs…
Quinn est également un homme d’accessoires : chapeaux par dizaines, broches, noeuds papillons ; tout y passe, exceptées les chaussures, qui semblent être les seules à bénéficier d’un peu de sobriété.  
N’en déplaise au reste du monde, il lui arrive aussi de porter du maquillage, lorsque l’occasion se présente ou lorsque l’envie lui prend.
Quinn n’est pas tatoué, plus par incapacité à se fixer sur un motif que par manque d’envie, mais il est en revanche piercé : plusieurs trous aux oreilles - lobes et cartilages - et un piercing à la langue, qu’il apprécie particulièrement.
Pour finir, tout un pan de son dressing déborde littéralement de costumes en tous genre, que le jeune homme ne manque pas de sortir à toutes les occasions : fêtes diverses, Carnaval, Halloween ; tous les prétextes sont bon pour se déguiser quand on s’appelle Quinn Blackwood.

• Mentalité, attitude envers autrui, philosophie personnelle: (Soyez le plus précis possible ! )

Quinn est une pile électrique. Une girouette. Une bourrasque qu’on ne voit pas venir et qui vous laisse tout ébouriffé, bouche bée et les bras ballants.
Insaisissable, il n’agit pas selon ce que les autres attendent de lui mais selon ce qu’il ressent, au moment où il le ressent.
Et il ne ressent pas à moitié. Ou, plus exactement, il ressent TOUT plus fort que la moyenne : il est en effet hypersensible, vivant toutes les situations qu’il traverse plus intensément, au point d’être parfois submergé par ses émotions. N’étant pas du genre à voir le verre à moitié vide, Quinn n’est heureusement que peu sujet aux émotions négatives, mais son entourage a déjà pu le voir faire une crise de colère ou céder à la panique avec autant de violence qu’il exprime habituellement sa joie. Et autant dire que cela a de quoi surprendre, venant de quelqu’un comme Quinn.
En effet, il est incurablement optimiste, définitivement extraverti et, avouons le, quelque peu fatigant. Il aime la compagnie d’autrui, aime échanger, partager, prendre à témoin, parfois avec insistance, au point de mettre les gens mal à l’aise. Pour beaucoup, il est ce type étrange et marginal, capable de traverser l’Académie en courant juste parce qu’il a une information à partager avec son colocataire. Ce même type qui porte des vêtements bizarres et qui aborde les gens qu’il ne connaît pas sans aucune retenue, ignorant la plupart du temps les limites de leur espace vital.
Il est parfois difficile de capter son attention, mais à l’inverse, une fois captée, il peut être extrêmement compliqué de s’en débarrasser. S’attachant très vite aux gens qu’il rencontre, il devient vite envahissant, ne comprenant pas vraiment pourquoi il devrait se retenir de passer du temps avec ceux qu’il apprécie.
De manière générale, il n’est pas du genre à taire ce qu’il pense et qu’il ressent, prenant lui même remarquablement bien les critiques. Pourtant sa franchise surprend, agace, énerve ; après tout, bien peu de gens apprécient d’avoir leur quatre vérités lancées à la figure.
Quinn agit et s’exprime le plus souvent sans arrières pensées, avec toute la candeur de l’enfant qu’il est resté, et parfois aussi avec toute sa maladresse. Il vexe des fois sans s’en rendre compte, blesse sans le vouloir, et puis oublie, passe à autre chose, part vivre avec enthousiasme sa prochaine aventure.
Bien qu’étant capable de faire preuve de beaucoup d’empathie, Quinn va souvent trop vite pour réellement prendre la mesure des sentiments de ceux qui l’entourent, ce qui rend le retour sur terre généralement plutôt brutal.
Cela dit, il est particulièrement prompt à ignorer les problèmes, préférant garder cette image du marginal toujours souriant, quitte à se mentir à lui même. Si on lui pose la question, il répondra toujours que tout va bien, jusqu’à s’en persuader, et ce même lorsqu’il est au plus bas.

• Signes particuliers, manies, obsessions, phobies (etc.) :

Quinn est obsessionnel par nature. De par son caractère, il ne se passionne jamais à moitié pour quelque chose : mais si c’est parfois bref, il s’investit toujours à 100%, notamment dans ses loisirs et ses goûts. C’est évidemment la raison pour laquelle il est devenu pro de la couture, mais également - et c’est moins connu - celle pour laquelle il connaît un large répertoire de tours de magie et est assez doué pour résoudre des énigmes. S’intéressant très facilement au monde qui l’entoure, il accumule beaucoup d’informations et est une impressionnante base de données de savoir pas toujours très utile.
Trop curieux pour s’embarrasser de peurs, Quinn n’est néanmoins depuis le séisme plus très à l’aise dans les endroit clos et/ou souterrains. Il éprouve aussi depuis ces événements des difficultés à bouger son épaule droite, bien que ce soit majoritairement psychosomatique.
Il n’est pas non plus sujet aux tics mais il a bien quelques manies, notamment cette habitude qu’il a de toujours regarder ses interlocuteurs droit dans les yeux, et celle de répondre aux questions qu’on lui pose par d’autres questions.
Ensuite, il est bon de savoir que la vie sentimentale du jeune homme est entièrement régie par ses impulsions et qu’il peut se montrer quelquefois - souvent - envahissant lorsqu’il éprouve des sentiments pour quelqu’un. Ce qui arrive relativement souvent, compte tenu de l’amour qu’il porte au genre humain en général (il est d’ailleurs pansexuel). N’attendant pas nécessairement quoi que ce soit en retour, il ne se prive pas de se lancer dans de grandes déclarations et couvrir l’autre d’attentions diverses, juste comme ça, espérant faire plaisir.

III. MÉMOIRES.

• Histoire : (Soyez le plus précis possible ! )

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• Relations proches et familiales : (qui vous a élevé / avec qui vous vivez, etc.):

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IV. DERRIÈRE L'ECRAN.