Yûichi Miyamoto, 2.0

Yûichi Miyamoto

.feat Shin'ichi Okazaki

• Sexe: ♂
• Âge & Date de naissance : 20 ans, né le 23 Octobre 1992. Un vent frais, un crachin automnal, un timide rayon de soleil, et les gamins qui se réjouissent à l'idée de fêter Halloween. Vous y êtes ? Nous y sommes.
• Origine(s) : Anglo-japonaises ; bien que sur le papier, ses deux parents soient japonais.
• Orientation sexuelle : Bi ♥ Et bien content de l'être ! C'est vrai, quoi, il plaît aux deux, les deux lui plaisent, pourquoi se limiter ?



• Langue(s) : Japonais (langue maternelle) et anglais (bon niveau scolaire). Contrairement à ce que ses origines pourraient laisser penser, Yû ne parle pas anglais aussi bien qu’il ne maîtrise le japonais - et pour cause : il a été élevé au Japon, par une famille tout ce qu’il y a de plus japonaise.
• Etudes : Management, 3° année.
• Spécialité : Gestion d'entreprises. Eh oui ! Qui sait, ça pourrait servir, pour reprendre l'entreprise familiale ? Bon, en admettant que ses frères aînés ne le fasse pas avant...
• Groupe : Populaires ♥ Ce n’est pas un secret, tout le monde connaît Yûichi Miyamoto, et ce dernier s’en porte plutôt bien.
• Club(s) : Musique, Cérémonie du thé, et Cercle d'Hôtes ♥ (les explications viendront plus tard, soyez rassurés o/)

>>> Aspect physique

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De quoi j'ai l'air ? (Physionomie) • 1 m 77 • 63 kg • Cheveux : blonds • Yeux : vairons (bleu/vert) • Peau : pâle ... S’il y a une chose que l’on peut facilement constater lorsqu’on pose le regard sur le cadet de la famille Miyamoto, c’est que la nature a été particulièrement généreuse avec lui. C’était déjà vrai il y a quelques années quand, fraîchement arrivé à l’Académie Keimoo, il se constitua sans vraiment le vouloir toute une bande de fans qui s’accordaient à dire à son sujet qu’il était : « Trop mignon ♥ ». C’est d’autant plus vrai maintenant qu’il a atteint ses 20 ans et la taille définitive de 1m77, et que le terme revenant le plus souvent pour le décrire n’est plus « mignon » mais « carrément canon ». Car oui, la poussée de croissance à laquelle sont sujets la majorité des adolescents lui a été particulièrement bénéfique, autant le dire tout haut. Il faut dire aussi que, contrairement à  beaucoup, il a véritablement pris soin de lui durant cette période. Juste ce qu’il faut de sport, un régime alimentaire adapté... Pas question pour lui de ressembler à un cure-dents mal dégrossi, il a une réputation à tenir, que diable ! Pour le reste, procédons par étapes. Par exemple : la silhouette. Lui qui faisait tout un complexe de sa taille il y a de cela quelques année se classe maintenant parmi les « grands » de la population japonaise - sans pour autant faire dans la démesure. Bref, juste ce qu’il faut pour sortir de l’ordinaire sans pour autant avoir l’air d’une bête curieuse ; que demander de plus ? Il entretient son corps ; pas trop, juste ce qu’il faut pour ne pas pouvoir passer derrière une affiche sans la décoller - les allures de gringalet, non merci, il a déjà donné ! Pas question cependant d’avoir l’air d’un surfer bodybuildé. De manière générale, il préfère éviter les extrêmes, quand il est question de sa corpulence. Cela dit, il n’en attire pas moins l’œil, pour tout un tas d’autre raisons. Par exemple, sa démarche, élégante, féline - calculée, bien entendue. C’est devenu à force une seconde nature chez lui de se mouvoir de cette façon, mais dès le départ c’était un moyen de plaire. Autre détail notable - et c’est probablement la première chose remarquable chez lui : la couleur de ses cheveux. Héritage de ses origines britanniques, il aborde un blond cendré des plus exquis, parfait pour briller - presque littéralement - au sein d’un groupe. Il n’hésite cependant pas à les teindre lorsque l’envie lui prend, et est déjà passé par plusieurs teintes de brun, de roux, et même de bleu. Il en prend heureusement grand soin, histoire de ne pas se retrouver avec du crin de poney en guise de chevelure (ce serait fâcheux, avouez !), d'autant plus qu'ils sont vraiment très fins. Quand à la coupe, elle varie souvent, même si en règle générale, sans gel ou sans mise en plis particulière, les mèches les plus courtes lui arrivent un peu en dessous des oreilles. Ajoutez à cela un visage harmonieux, symétrique et d’une grande finesse et vous comprendrez que ses origines seules ne sont pas l’unique source de sa popularité - loin de là. Et puis sachez que - aussi étrange que cela puisse vous paraître - ni ses cheveux, ni son visage ne constituent sa particularité physique principale : celle-ci réside en ses yeux. En effet, le droit est bleu, le gauche est vert, tous deux tirant légèrement vers le gris ;  surprenant, n’est-ce pas ? Il y a cependant un contrecoup à cette étonnante caractéristique : il est très myope de l’oeil droit, ce qui l’oblige à porter une lentille ou des lunettes en permanence (vous devinerez que son choix s’oriente presque systématiquement vers la lentille - de toutes façons, il trouve que les lunettes ne lui vont pas). Pour compléter ce portrait, nous ajouterons que Yûichi a la peau plutôt pâle - oui, des origines anglo-japonaises, ça ne pardonne pas - le nez très légèrement retroussé (avec une pincée de tâches de rousseur en cadeau), les yeux bien souvent rieurs, ou en tous cas le reflet de son humeur et un sourire mutin capable de faire fondre bien des coeurs ♥ En règle générale, c’est quelqu’un de très expressif, et son visage fait rarement le secret de ce qu’il pense. Même chose pour ses mouvements, dans lesquels il met d’ailleurs beaucoup d’emphase - il ne peut s’empêcher d’être théâtral. Une dernière petite info ? Il se dégage toujours de lui une odeur fruitée - de pêche, plus précisément - manifestement due au shampoing qu’il utilise. [735 mots]

Et je porte quoi ? (Vêtements) Détailler les vêtements de Yûichi Miyamoto revient à décrire la garde-robe d’une gravure de mode, ou d’une star du rock, au choix. En exagérant à peine. Il met un point d’honneur à ne porter que des fringues lui allant à la perfection, ayant parfaitement conscience d’être en permanence sous le feu des projecteurs. Cependant, il n’aime pas les clichés et affectionne tout particulièrement tout ce qui se rapporte à un style punk. Si ses couleurs fétiches n’ont guère changé depuis son arrivée à l’Académie - le rouge, le blanc et le noir ont toujours une place privilégiée dans son dressing - les coupes, elles, se font plus osées, plus originales, plus affirmées. Il n’hésitera pas à superposer, mêler les motifs, porter des fringues déchirées, tant que ça reste de bon goût - et de bonne marque ! Car oui, ce n’est pas parce qu’on aborde un style grunge que l’ont est automatiquement censé se fringuer dans une friperie ! En l'occurrence, Yûichi a un gros faible pour les créations d’un styliste anglais dont le crédo est, en gros, qu’être underground et porter de la haute-couture n’est pas forcément paradoxal. Ce qui, en soi, convient parfaitement à ce gosse de riche qu’est Yûichi, qui ne se prive pas de dépenser allègrement l’argent dont il dispose dans des vêtements que son père jetterait sans se poser la question s’il en ignorait le prix - ce qui n’est fort heureusement pas le cas. D’autant plus que ce dernier a depuis longtemps abandonné l’idée de redresser les goûts de son fils en matière de mode. Plus précisément, il a abandonné lorsque le jeune homme est un jour rentré pour les vacances abordant un piercing à la lèvre, en plus de ceux de ses oreilles - dont le nombre déjà conséquent à son entrée à Keimoo semble à chaque vacances s’être décuplé. Et encore, aucun membre de sa famille n’a jamais su pour les tatouages, lesquels lui auraient probablement valu d’être envoyé manu militari dans une école militaire histoire d’arranger les choses. Il convient entre parenthèses de préciser de quoi retournent lesdits tatouages : le premier, fait lors de sa dernière année au lycée - la deuxième passée à Keimoo -, se situe le long de sa clavicule gauche et fait dans la simplicité : une unique phrase en écriture cursive un peu old school : « And in that moment I swear, we were infinite. ». Le second est constitué de deux parties, symétriquement disposées sur l’intérieur de ses avant-bras, juste avant le coude, et représente des mots, dans la même police de caractère que celui de sa clavicule (« Forever Young » et « Never Grow Old »). Le troisième et pour le moment dernier, figure deux colts inclinés, le canon vers l’intérieur, en symétrie sur chacune de ses hanches. Une dernière chose reste à préciser concernant le style vestimentaire de notre protagoniste : s’il est vrai que sa préférence va à l'extravagance, il  n’en est pas moins un fils de bonne famille, habitué aux soirées de la haute société ; de ce fait, il poste très bien le costume-cravate, bien qu’il y rajoute toujours une touche personnelle (un revers de veste orné d’un motif tartan, un chapeau, une cravate originale, des épingles à nourrice, etc.), que ce soit par envie ou par pur esprit de contradiction. De même, il sait s’adapter lorsqu’il se trouve à l’Académie : si le style global reste le même, cela reste la version “soft” ; moins de déchirures, moins d’épingles et de clous, etc. La seule chose sur laquelle il ne fait pas de concession à Keimoo ? Les chapeaux, qu’il affectionne particulièrement et dont il possède tout une collection ; son préféré restant un chapeau melon noir tout ce qu’il y a de plus simple, s’accordant à merveille avec la plupart de ses tenues. [621 mots]

>>> Aspect psychologique

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A quoi je pense ? (Psychologie) • Orgueilleux • Lunatique • Charmeur • Sensible • ...Populaire ? ♥ ... L’une des premières choses à dire lorsqu’on se penche sur la psychologie de Yûichi, c’est qu’il n’hésite pas une seule seconde à se vautrer dans le cliché du populaire ; et c’est là la source de nombre de ses traits de caractère. Il aime plaire, c’est un fait - en un sens, c’est quelqu’un de très vaniteux. Il entre à l’évidence dans cette catégorie de personnes disposant d’un vrai charme naturel et - contrairement à beaucoup - en a parfaitement conscience et sait s’en servir. Ce dont il ne se prive pas, vous vous en seriez douté. Il évolue ainsi avec aisance en société, s’attirant les faveurs des uns au moyen de cette sensualité mêlée de candeur qu’il dégage en permanence, et les rancoeurs des autres, ceux et celles qui font les frais de sa légendaire franchise dépourvue de tact. Car oui, il est aussi assez... expansif. Dire ce qu’il pense, au moment où il le pense, c’est sa façon de faire ; il déteste intérioriser, se montrant quelques fois brutalement honnête, ce qui lui a valu de se créer un certain nombre d’ennemis... dont il se fiche royalement. Il a pour habitude de n’accorder de l’attention qu’à ceux qui l’apprécient, n’ayant de toutes façons aucune idée de la manière de gérer un conflit. Mais il serait réducteur de ne mettre en avant que les mauvais côté de Yûichi. Car c’est avant tout un personnage complexe. Étrange, parfois. De loin - de très loin - il semble être le populaire type : ouvert, charmeur, perpétuellement entouré d’une cour d’admirateur, distribuant les compliments comme on le ferait avec des friandises. Ceux qui ont eu l’occasion de l’approcher d’un peu plus près ne sont pas de cet avis. A leurs yeux, il agit comme un prince. Un sale prince capricieux et trop gâté. Capable de moduler son comportement au regard de la situation, certes, et ainsi capable de donner le change ; mais manipulateur, essayant de ne faire voir de lui que ce qu’il choisit de montrer ; les bons comme les mauvais côtés. Usant, fatiguant, aussi ; en perpétuel mouvement, ne supportant pas de ne rien faire, préférant être toujours en activité. Il semble n’avoir que ça, n’est-ce pas, des mauvais côtés ? Mais pas d’inquiétude. Car de près - de très près - il est possible de se rendre compte que Yûichi est quelqu'un de très empathique ; et s'il est vrai que cette tendance à s'imprégner des sentiments d'autrui le met parfois d'humeur exécrable sans raison apparente, cela lui permet aussi d'aider lorsqu'un membre de son entourage ne va pas bien, toujours sous couvert d’une bonne couche de mauvaise foi et sous prétexte que ça l’arrange. Il s’improvise ainsi souvent justicier des temps modernes, redressant les torts, volant au secours du “faible” qu’il aura méprisé cinq minutes plus tôt, faisant le maximum pour que son petit monde tourne exactement comme il le souhaite. Un gamin régnant sur sa cour de jouets. Car c’est un gosse, au fond. Capricieux comme un gosse, bordélique comme un gosse (il n'y a qu'à voir son appartement !), collectionneur comme un gosse - ceux qui commencent collection sur collection avec un peu tout ce qui passe (pour lui, ça va des fringues aux conquêtes, en passant par les produits dérivés de jeux vidéos). C'est curieux, parfois, de voir les paradoxes qu'incarne ce cher Yûichi. Il se garde les avantages de l'enfance, mais se permet de grappiller ceux du monde des adultes en prime. Car il faut savoir que Yûichi est un séducteur. Chez lui, séduire tout ce qui bouge, c'est presque instinctif. Peut-être est-ce dû à son irrépressible besoin d'affection ? Ou tout simplement à son ego. Il aime qu’on l’aime, c’est une évidence. Il aime qu’on le remarque, qu’on le regarde - il est de ce fait très porté sur l’emphase - et à choisir, il préférera être détesté qu’ignoré. Quand au choix de ses conquêtes ? Bien que se clamant bisexuel, physiquement parlant, Yûichi est sexuel tout court et particulièrement attaché à la beauté, tant masculine que féminine. Dès lors qu'il a affaire à une personne agréable à regarder, il est prêt à se lancer dans n'importe quelle histoire d'un soir. D'un soir seulement. Lorsqu’il est question d'aimer, c'est une autre histoire : s'il trouve la gente féminine charmante, une relation avec une fille n'ira jamais au delà de l'amitié, pour Yûichi. Ou bien d'une certaine proximité physique ne demandant aucun engagement. Hormis cela, seuls les hommes l'intéressent, pour la simple raison que c’est bien souvent plus “compliqué”. Il fuit en effet la routine, la simplicité, l’ennui. Surtout l’ennui. Les relations simples, sans complications, sans problèmes ? Non merci. Il les fuit comme la peste, excepté lorsque c’est pour le bien de sa réputation. Il y accorde beaucoup d’attention, à cette réputation, et c’est bien le seul trait de caractère qu’il a repris de son père, ça et peut-être cette manie de vouloir toujours tout contrôler. Pour le reste, il en vient à revendiquer leurs différences. Là où le chef de la famille Miyamoto se montre strict, sérieux, rigoureux, Yûichi cultive une certaine désinvolture, une nonchalance et la sale habitude de toujours tout remettre au lendemain. Et c’est pour cela que beaucoup on été réellement surpris de le voir entamer des études de managment, les mêmes que celles suivies par son père, et ce dans le but manifeste de travailler  plus tard dans sa société. Certains y ont vu une sorte de mimétisme inconscient ; d’autres - bien plus lucides - ont compris qu’il s’agissait là de l’unique moyen pour Yûichi de ravir sous le nez de ses frères la présidence de l’entreprise quand le moment sera venu. Pour pouvoir espérer un jour être meilleur qu’eux, quelle autre voie pouvait-il viser que celle-là même qu’ils ont auparavant emprunté ? Il apprécie la compétition, mais seulement lorsqu’elle lui semble être loyale. Et puis il voulait savoir ce qui avait poussé toute sa famille à se lancer dans la gestion d’entreprise ; il voulait s’en rendre compte par lui-même. Il a toujours été d’un naturel curieux. Voulant tout tester, tout essayer, tout comprendre, parfois au risque de se lancer dans des histoires abracadabrantes et de se mettre en danger. Cette curiosité est par ailleurs l’unique raison pour laquelle il n’a pas loupé sa scolarité. N’eut été ce besoin de comprendre, de savoir, il aurait depuis longtemps laissé tomber ses études, mais ce trait de caractère en fait un élève attentif, le classant ainsi parmi les bons éléments. [1069 mots]

Et qu'est-ce que je fais ? (Particularités) Dans la famille Miyamoto, on se doit de sortir de l’ordinaire et de briller en société. C’est pourquoi chacun des trois membres de la fratrie maîtrise un instrument de musique dont il fait l’apprentissage depuis son plus jeune âge. Pour Yûichi, c’est le violon, depuis qu’il a six ans. Et contrairement à la plupart des choses qui lui on été demandées par ses parents “pour faire bien”, il aime énormément cet instrument, et ne se lasse jamais d’en jouer. Cependant, son attrait pour la musique rock et punk l’a poussé à explorer d’autres horizons, et il s’est récemment mis à la guitare électrique, au grand désespoir du reste de la famille. Il dispose également d’un léger don pour le chant, qu’il n’exploite cependant guère en dehors de sa salle de bain. D’une manière générale, c’est un grand mélomane, dans le sens où il ne s’écoule pas une journée sans qu’il écoute de musique - et ce dans tous les styles possibles et imaginables. Il est d’ailleurs étonnamment bon public à ce sujet ; là où la plupart des musiciens se montre très critique, il est parfaitement capable d’apprécier autant un morceau de classique que le dernier tube de l’été. Ce qui, une fois de plus, lui attire les foudres familiales. Il n’est de toutes façons plus à ça près, étant donné que la majeure partie de ses centres d’intérêt et occupations entre en contradiction avec l’idée que se font ses parents de loisirs “sains” ; notamment sa passion pour les films d’animation et les jeux vidéos, le fait qu’il se soit mis à fumer et à draguer tout ce qui bouge, et également son attrait pour les sorties en boite. Fort heureusement, il aime aussi énormément les soirées mondaines, ce qui rattrape un peu le coup. Qu’ajouter à son sujet ? Il aime prendre ses repas sur le toit de l’Académie. Il n’aime pas qu’on lui coupe la parole. Il aime faire les magasins. Il n’aime pas les films catastrophe. Il aime fredonner quand personne ne l’entend. Il n’aime pas la pluie. Il aime le chocolat. Il n’aime pas être privé de sa grasse matinée du week-end. Il aime les romans historiques. Il n’aime pas les fruits de mer. Il aime être écouté. Il n’aime surtout pas être seul. Il aime vivre, sans penser au lendemain ; être admiré ; aimer - être aimé ! - Le thé - qu'il avale en quantités industrielles. Vivre, encore. Lire, dévorer des bibliothèques entières, pendant des heures, à s'en bousiller les yeux ; être le centre des regards ; s'enivrer ; vivre, toujours. Et il déteste - par dessus tout ! - être ignoré ; ceux qui lui ressemblent ; dormir ; grandir - vieillir. La liste est encore longue, mais peut être devinée pour peu que l’on s’attarde à l’observer ; car Yûichi est véritable livre ouvert, et le comprendre est aisé si l’on dispose du dictionnaire. Quand quelque chose lui fait envie : il se mordille la lèvre inférieure. Quand il est sur le point de s’énerver : il triture nerveusement ses cheveux. Quand il est mal à l’aise, triste ou gêné : il serre ses bras autour de son corps. Quand il est sur le point de faire une de ses – rares mais violentes – crises de larmes : il serre les poings jusqu’à enfoncer ses ongles dans ses paumes. Quand il est heureux : il sourit sincèrement et se montre encore plus tactile que d’habitude. Quand il est attentif : il penche la tête vers la droite et regarde son interlocuteur par en dessous. Quand c’est l’inverse, il change de côté et regarde ailleurs. Il ne faut pas s’inquiéter quand il se plaint. Il faut s’inquiéter s’il dit que tout va bien. Un livre ouvert, vous dis-je. [609 mots]

>>> Le Cercle d'Hôtes

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Explications & Présentation La partie que je vais maintenant aborder mérite une place spéciale, c’est pourquoi j’ai créé une catégorie supplémentaire afin de pouvoir lui accorder toute la considération qu’elle mérite. Je gage que certaines personnes sur ce forum auront - comme moi - vu et apprécié le manga “Oran High School Host Club”, c’est pourquoi je leur demanderai de ne pas trop s’offusquer en constatant les similitudes entre ce club d’hôtes et le mien - il en est après tout la principale source d’inspiration. Et puisque l’idée a déjà une fois si bien fonctionné, il m’est apparu que l’initiative de la reproduire par chez ne pouvait - par nature - pas être mauvaise. Maintenant, sans plus tergiverser, je vous présente Le Cercle d’Hôtes de l’Académie Keimoo ♥ ► Création : Octobre 2010 (4° année de Yûichi Miyamoto) ► Créateur et président : Yûichi Miyamoto ► But : Distraire, par une plaisante compagnie et une agréable conversation, les élèves de l’Académie Keimoo souhaitant oublier le poids quotidien de leur scolarité. ► Membres : Uniquement des garçons, de toutes les années et de tous les groupes. Au nombre de sept, ils présentent la particularité d’être tous particulièrement agréable à regarder, bien qu’étant très différents les uns des autres. Leur crédo ? Exploiter les avantages et les points forts de chacun, afin de satisfaire les goûts d’un maximum d’étudiants. ► Points notables : • Depuis sa création, en 2010, le Cercle est en conflit permanent avec la direction, du fait de sa portée absolument non-éducative - bien que Yûichi persiste à appuyer que oui, ils apprennent quelque chose : l’art de la conversation et de l’étiquette. Le corps enseignant pour sa part, n’y voit qu’un moyen déguisé de flirter en toute impunité, faisant, d’après leurs dires “de la débauche une distraction”. Ce à quoi Yûichi a toujours répondu qu’il n’était aucunement question de débauche puisque - contrairement à un “vrai” cercle d’hôtes - il n’est question ici ni de payer, ni de toucher. L’une des seules raisons pour laquelle le cercle n’a toujours pas disparu de Keimoo est que la famille Miyamoto est très influente et compte parmi les donateurs réguliers de l’Académie. • Du fait de ce conflit, le Cercle change de salle chaque année, l’administration s’arrangeant à chaque fois pour les déloger, espérant les avoir à l’usure. C’est sans compter sur la ténacité de Yûichi. • En plus de celui de distraire, le Cercle d’Hôtes s’est fixé un autre but : celui de toujours veiller au bonheur de ses “clients”, et ce dans tous les domaines possible. Il s’oppose néanmoins au Comité des Élèves - qui emprunte la voie officielle - et au club des Pompom Girls - qui lui agit dans l’ombre - puisqu’il n’hésite pas à retourner publiquement ciel et terre afin de venir à bout des problèmes. C’est pourquoi les deux regroupements cités ci-dessus ne sont en règle générale pas très chaleureux avec nos hôtes en herbe. Lesquels n’en ont absolument rien à cirer puisqu’ils se considèrent bien entendu comme les meilleurs. • Le Cercle d’Hôtes a été créé juste après le bal de la St-Valentin 2010, lorsqu’à été mis en place le nouveau règlement. La raison pour laquelle le projet n’a pas été étouffé dans l’œuf ? Yûichi l’a mis en branle exactement la veille des actions du “FLPCB”, et dans l’agitation qui a suivi, sa demande est passée comme une lettre à la poste, très probablement par erreur, d’ailleurs. • En plus de la portée sociale du Cercle, ses membres expérimentent également les joies de la gestion d’entreprise, puisqu’ils se dont donné pour mission de gérer par eux même toutes leurs dépenses, allant des costumes à la nourriture, en passant la vaisselle qu’ils utilisent quotidiennement. ► Horaires : Le Cercle d’Hôtes est ouverts en semaine tous les jours, de 16h à 19h30, dans la mesure où le local actuel se trouve dans l’enceinte de l’Université (Il ouvrait auparavant entre midi et deux, lorsque les locaux se trouvaient dans l’enceinte du lycée). Tous les membres ne sont pas tenus d’y être en même temps. Le premier à finir ses cours ouvre le club ; les autres arrivent en fonction de leur disponibilité, selon l’heure où ils finissent. ► Yûichi et le Cercle d’Hôtes : Cette idée a germé dans son esprit lors d’une soirée mondaine, un jour où il s’ennuyait profondément. Constatant qu’il lui était presque naturel de sortir sans difficultés compliments et traits d’esprit, et que cela semblait plaire à son public, il se dit qu’il serait amusant d’en faire une véritable institution, et c’est ainsi qu’il s’est mis en quête d’autres hurluberlus que le projet intéresserait. Le principe de veiller au bonheur des “clients” en dehors du cercle s’est quant à lui imposé au fur et à mesure, du fait du côté “justicier” de Yûichi. Cependant, si on lui pose la question, l’unique raison est que “un client heureux sera bien plus enclin à acheter nos albums de photos ♥” Il est vrai, cela dit, que le budget habituel alloué aux clubs est loin de suffire aux dépenses nécessaires au Cercle d’Hôtes.

>>> Biographie

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Qu'ai-je vécu ? (Histoire)

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Et d'où je viens ? (Famille)

La famille Miyamoto est donc composée de cinq personnes, en comptant Yûichi.

Le chef de famille se nomme Masahiro Miyamoto. C’est un homme très ambitieux, strict, guère très présent, mais néanmoins très attaché à ce qu’aucun membre de sa famille ne manque de quoi que ce soit. Il lui est arrivé plus d’une fois de venir financièrement en aide à un cousin éloigné dans le besoin. Il est très fier de ses aînés, et n’hésite pas à le faire savoir, mais n’éprouve cependant aucune affection pour Yûichi, qu’il ne considère pas - à raison - comme son fils, bien qu’il l’ai officiellement reconnu comme tel. Il est le directeur d’une multinationale de très grande envergure, dont les domaines de prédilection sont l’électronique et les technologies de pointe. L’entreprise dispose par exemple d’une bonne place dans le marché des smartphones et de l’informatique. Elle est implanté à Keimoo depuis ses débuts et - bien qu'ayant ouvert plusieurs filiales à l'étranger - ne s’est pas délocalisée depuis, ce dont Masahiro tire une certaine fierté.

Sa femme se nomme Anna Miyamoto. C’est une femme issue d’une grande famille anglaise, habituée de la haute société. Cela ne lui est cependant pas monté à la tête, et elle conserve ainsi un assez bon caractère. L’idée de mettre tous les enfants Miyamoto à la musique est la sienne, et elle est la seule personne capable de tenir tête à son entêté de mari. Elle va même jusqu’à le taquiner devant ses employés, lesquels lui vouent pour cela un respect sans borne. Elle est le seul membre de la famille a réellement considérer Yûichi comme un Miyamoto, et a même développé au fil des ans une tendance à favoriser ce dernier. Elle travaille pour Miyamoto Inc. depuis de nombreuses années, ayant commencé dans la filiale anglaise. C’est d’ailleurs à l’occasion d’un voyage qu’elle a effectué au Japon dans le cadre de son travail qu’elle a rencontré Masahiro, qui n’était alors qu’employé de la boite, bien que destiné à en hériter.

Leurs fils aînés sont jumeaux, se nomment respectivement Kyosuke et Shunsuke et sont tous deux de véritable pestes. Shunsuke est moins expansif et moins mordant que son frère, mais se trouve être le plus retord des deux. Ils suivent les mêmes études et ont atteint le niveau de la thèse, mais chacun suit une spécialité différente : Kyosuke se voue à la direction d’entreprise, et Shunsuke a choisi la voie des finances. Leur principale activité étant petits consistait à martyriser leur petit frère. Cette lubie leur est passée avec le temps, et ils ne lui accordent désormais plus la moindre attention, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Bien qu’ayant tendance à le nier, ils partagent de nombreux traits de caractères avec Yûichi, notamment leur côté joueur et séducteur, ainsi que cette volonté d’être toujours sous le feu des projecteurs.

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Derrière l'écran

• Pseudo : Fan', KGB, Bambi, ect. Bon, c'est moi, quoi, z'avez l'habitude !• Âge : 22 ans o/• Serez vous actif ? As usual ? On va dire que je vais tenter. J'ai bien envie de ressortir mon premier perso, reste à savoir si j'arriverai à le combiner avec les deux autres... L'avenir nous le dira !• Comment avez-vous connu le forum ? J'sais pluuus ♥• Commentaires, remarques, critiques? : Nope ! Ah, si ! C'pas un DC, c'est un PC =D Premier Compte ! Eh oui, c'est avec celui-là que j'me suis inscrite, à la base ♥• Souhaitez-vous un parrain social ? Si oui, avez-vous une préférence particulière ? J'devrais arriver à m'en sortir toute seule • Avez-vous quelque chose à ajouter ?